L’ECOLE IVOIRIENNE: UNE MAFIA?

L’école ivoirienne a hérité de la méthodologie des modalités françaises, pays colonisateur, sans s’adapter à la nouvelle donne, face à un environnement en perpétuelle changement. L’Ecole ivoirienne est structuré en trois (3) : le primaire, le secondaire et le supérieur.

Ecole primaire

Secondaire

ü  General

ü  technique

Supérieur

ü  General

ü  Professionnel

Cette structuration sous tende de la bonne qualité de l’éducation au regard du filtre qui s’effectue du primaire au supérieur. Cependant, l’examen, moyen de tri des bons et mauvais élèves à « foutu le camp», pour faire place au favoritisme, à la tricherie, des élèves et étudiants politiciens, comme le dirait l’autre, c’est ça qui nourrit son homme en Côte d’Ivoire.

L’école ivoirienne est un lieu juteux de distribution de revenu de l’argent du contribuable ivoirien, sans contrepartie réelle de diffusion de savoir et  de savoir faire. Le ministre Cissé Bacongo ministre de l’enseignement supérieur ivoirien s’est essayé, en effectuant des classements des universités et grandes écoles privées de Côte d’Ivoire pour les années precedantes.Par ailleurs, cette année, le classement des écoles qui se font préalablement est absent, comment se fera l’orientation des étudiants dans le supérieur privé. Cette affectation qui tenait compte du classement des écoles, selon certains critères, par exemple le paiement de leur personnel, la dotation en matériel didactique   

Cependant, au constat, certains ne respectant pas ses critères ont eu plus d’étudiants que certains écoles, l’on se poserait la question de savoir comment cela est-il possible?. Le paiement des subventions des attributions et des renouvellements des étudiants orientés se fait à la tête du client, il semblerait que certains fondateurs devraient verser 10% du montant à recevoir à certains agents avant de voir leur versement effectué.

Dans l’école ivoirienne, l’on note une absence réelle des syndicats, élèves, étudiants, parents d’élèves, enseignants, pour souligner des problèmes de fonds. Pour en savoir plus, il sera mis l’accent sur le syndicalisme des enseignants.

Le syndicalisme enseignant

L’enseignement est l’une des professions où le taux de syndicalisation est le plus élevé. On ne saurait considérer la condition enseignante sans y faire référence. Le syndicalisme est susceptible d’améliorer le salaire des enseignants puisqu’il crée un cartel dans l’offre de travail. Les syndicats des enseignants ne se contentent pas de négocier des salaires élevés; ils cherchent de multiples façons à augmenter la demande et à dimunier l’offre.

Les syndicats d’enseignants sont de fervents tenants de l’augmentation des dépenses d’éducation, de la scolarisation obligatoire, de la gratuité scolaire et du professionnel. Il est parfois difficile de décortiquer ce qui dans leurs revendications vise à promouvoir les intérêts de leurs membres, de leurs dirigeants et de l’éducation. Tous ces intérêts sont souvent convergents, mais parfois divergents.

L’ECOLE est le pilier de tout développement, un peuple instruit est un peuple qui conserve ses valeurs. Sauvons notre école, pour des futurs de développement, puisque l’organisation scolaire agit sur le rendement scolaire, ce rendement positif rejaillit sur toute la société. Tout comme il y a de bons et de moins bons enseignants, il y a de bonnes et de moins bonnes classes ou écoles, il y a de moins bons gouvernements qui se penchent sur la chose éducative. Au regard, des sommes distribuées pour la subvention des écoles privées du secondaire au supérieur, ceux-ci équivaudrait par an à plusieurs milliards de francs CFA. Pour la gestion d’une bonne école ivoirienne et évitée l’inefficacité des écoles privées, nous proposons des bons d’éducation distribués aux étudiants et élèves, afin qu’ils choisissent eux-mêmes leurs établissements et ses bons pourraient être monnayer auprès des structures bancaires, pour ne plus à avoir des problèmes de liquidité pour une performance de l’école privée.

Patrick Kouassi