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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 11:56

 

 

Ces dernières années, le climat devient un des facteurs déterminants, dans le phénomène de la migration du chômage et du déplacement des populations.

 

Les populations affectées par ses intempéries vont devoir avoir une solution provision d’installation dans des campements de fortunes, ses déplacés internes, se verront tous perdre, emplois, dignités. Ils devront avoir les moyens pour maitriser ses prévus, fasse à laquelle, ils ne peuvent pas faire face ses différents pays qui subissent ses intempéries.

 

Ces dégradations de l’environnement causent d’énormes problèmes à notre société, surtout aux sociétés africaines qui ne sont pas la cause de ses problèmes climatiques. Entre autres, il faut noter le nombre de décès et de pertes économiques liés à des catastrophes naturelles a très fortement augmenté en 2008. Sur les huit dernières années, le nombre de morts liées à ces phénomènes a été multiplié par 3, passant de 66.000 en moyenne par an à 225.800. Les pertes économiques totalisent 190 milliards de dollars, soit plus du double de la moyenne annuelle (81 milliards de dollars) enregistrée sur la même période. L’Asie reste le continent le plus touché, l’Afrique commence a connaitre ses catastrophes ses dernières années

 

Dans le contexte de la précarité de vie et dans la crise généralisée dans les pays africains, les familles ont recours à la migration comme une stratégie de survie, de diversification des risques et d’augmentation des revenus. Dans cette stratégie, les peuples des pays d’Afrique vont connaitre une immigration et émigration importante, si les pays ne font rien, au détriment du capitaliste «sauvage».

 

Entre autres conséquences, ces catastrophes récurrentes affectent les biens et les moyens de subsistance des pauvres, font baisser les revenus des familles et entraînent une hausse du taux des abandons scolaires. Enfin, en endommageant les équipements hospitaliers et en perturbant l’organisation des systèmes de soin, elles empêchent l’accès aux soins de santé. On estime que plus de 3,4 milliards de personnes dans le monde sont exposées à au moins un risque de catastrophe naturelle ; 770 millions se trouvant sous la menace de plusieurs (Source 2009)

 

  • Les pertes économiques sont 20 fois plus importantes (en pourcentage du PIB) dans les pays en développement que dans les pays développés.
  • Le changement climatique, la croissance démographique, l’accélération de l’urbanisation et la dégradation de l’environnement risquent d’accroître la fréquence et la gravité des catastrophes naturelles.
  • Les pays en développements sont les plus exposés au risque, en raison de leur manque de ressources financières et matérielles, notamment en matière de technologies et de capacités institutionnelles. Ils n’ont pas les moyens de prendre les mesures nécessaires pour prévenir ou réduire les risques futurs et pour s’adapter aux changements climatiques.
  • De tels désastres peuvent en une poignée de secondes réduire à néant des décennies de développement. Par conséquent, la réduction des risques liés aux catastrophes naturelles relève autant du développement économique que de la nécessité humanitaire.

Face à ses différentes catastrophes dans le monde, la Banque Mondiale s’est penchée sur le problème, en y apportant des solutions qui seront présentées dans la seconde partie.

Patrick KOUASSI

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